Tous les hôtels à Rhône-Alpes

D’Days | Design Association – Paris

GRAPHIC DESIGN FESTIVAL11 Jan. - 22 Fev. 2017

FESTIVAL DU DESIGN D’DAYS2 - 14 Mai 2017

FORUM THINK LIFEAutomne 2017

LE MAGAZINE

LET’S PLAY : FESTIVAL DU DESIGN D’DAYS 2017, SOYEZ DE LA PARTIE !

Vous êtes un éditeur, une école, un musée, une institution culturelle, une galerie, une fondation ou une entreprise ? Vous souhaitez proposer une exposition inédite pour promouvoir vos projets ? Participez au Festival du Design D’Days du 2 au 14 mai 2017 et intégrez notre parcours !

VEERLE WENES : DIRECTRICE ARTISTIQUE DU LABEL VALERIE_OBJECT ET GALERISTE ENGAGÉE

Galeriste, directrice artistique du label valerie_object et ancienne architecte, Veerle Wenes nous parle de sa galerie anversoise – valerie_traan – à la croisée entre art, design et architecture. Accolée à sa maison, c’est un espace dédiée aux objets de quotidien où elle vit et travaille, un lieu où elle peut prendre la parole et montrer son engagement pour des causes qui lui tiennent à cœur. Elle présentera le Cutlery Show lors du Festival du Design D’Days en mai 2017. Rencontre.

PRIX LILIANE BETTENCOURT POUR L’INTELLIGENCE DE LA MAIN – À VOS CANDIDATURES !

Avec le Prix Liliane Bettencourt pour l’intelligence de la main, la Fondation Bettencourt Schueller récompense l’excellence des métiers d’art français et promeut le savoir-faire, la créativité et l’innovation. Vous avez jusqu’au 6 avril 2017 pour candidater !

Tous les articles

PARTENAIRES INSTITUTIONNELS

LET’S PLAY : FESTIVAL DU DESIGN D’DAYS 2017, SOYEZ DE LA PARTIE !

21 DÉCEMBRE 2016

 

Vous êtes un éditeur, une école, un musée, une institution culturelle, une galerie, une fondation ou une entreprise ? Vous souhaitez proposer une exposition inédite pour promouvoir vos projets ? Participez au Festival du Design D’Days du 2 au 14 mai 2017 et intégrez notre parcours !

En 2017, l’événement annuel historique de D’Days revient du 2 au 14 mai 2017 autour d’une thématique aussi ludique qu’originale : « Let’s Play » – D’Days vous invite au jeu !

Le Festival – entièrement gratuit – est pensé comme un parcours où le design investit divers lieux de la capitale : des expositions au Musée des Arts décoratifs, au Grand Palais dans le cadre de la Biennale Révélations, des portes ouvertes, des workshops, des conférences et des événements festifs dans des lieux iconiques de Paris…

DEVENIR PARTICIPANTS

Pour faire partie de la programmation du Festival du Design D’Days, présentez-nous votre projet et vos idées en envoyant votre proposition avant fin janvier.

En participant au Festival, vous vous engagez pour soutenir la promotion du design, vous profitez de la mobilisation du secteur et du public de D’Days pendant les deux semaines de l’événement. Vous bénéficiez de la visibilité apportée par l’événement et ses outils de communication. Vous mettez en valeur votre travail / votre marque / vos valeurs.

Last but not least, toute participation au Festival du Design vous permet d’adhérer à l’association D’Days : vous profiterez ainsi des offres D’Days réservées à ses membres (moment de networking, rencontres, invitations exclusives, etc.).

VEERLE WENES : DIRECTRICE ARTISTIQUE DU LABEL VALERIE_OBJECT ET GALERISTE ENGAGÉE

21 DÉCEMBRE 2016

 

Galeriste, directrice artistique du label valerie_object et ancienne architecte, Veerle Wenes nous parle de sa galerie anversoise – valerie_traan – à la croisée entre art, design et architecture. Accolée à sa maison, c’est un espace dédiée aux objets de quotidien où elle vit et travaille, un lieu où elle peut prendre la parole et montrer son engagement pour des causes qui lui tiennent à cœur. Elle présentera le Cutlery Show lors du Festival du Design D’Days en mai 2017. Rencontre.

/////

« Mon fil rouge est la question de l’objet du quotidien : ceux qui nous entourent et qui font partie de la vie de tous les jours.»

D’DAYS : Objects & Subjects — telle est le sous-titre de votre galerie, comment se traduit-il dans vos expositions ? Comment caractérisez-vous la ligne éditoriale de votre galerie ?

VEERLE WENES : Objects & Subjects ça veut dire que je ne suis pas une galerie d’art stricto sensu et que je ne veux pas être une galerie de design uniquement. J’aime le mélange, j’expose des gens très divers en essayant d’osciller sur la frontière entre l’art, le design et l’architecture. Mon fil rouge est la question de l’objet du quotidien. Ce qui m’intéresse ce sont les artistes, designers ou architectes qui s’en inspirent et abordent ces objets qui nous entourent et qui font partie de la vie de tous les jours. Par exemple, j’ai présenté l’exposition the end of the world for beginners de Johan De Wit, un artiste autonome qui reconstitue et transforme des objets de tous les jours pour montrer leur origine, leur histoire. Le fait que Johan mette en avant l’objet m’intéresse, mais c’est un artiste, il n’aurait, sans doute où probablement, jamais été exposé dans une galerie de design.

Au-delà de ce concept, ce que j’attends avant tout des créateurs, c’est évidemment que leur travail me plaise. C’est le premier critère pour le choix des expositions. Presque dans tous les cas, j’évite le minimalisme, les choses lisses et parfaites… J’aime l’imperfection et privilégie les créations avec du contenu. Je tiens à présenter des expositions engagées, qui racontent une histoire.

DD : Situé à Anvers, la galerie valerie_traan donne sur votre maison, comment vivez-vous cet espace au quotidien ?

VW : La galerie donne sur la maison et la maison donne sur la galerie. Ce sont deux endroits différents, mais la plupart des gens sont invités pendant les heures d’ouverture à entrer dans la maison où j’habite. La galerie est ouverte 12h par semaine, ce qui est peu. Le reste du temps, la galerie est fermée et devient alors une extension de la maison. C’est un espace pour vivre et pour travailler, un mélange entre le privé et le travail. J’apprécie de vivre dans un environnement rempli de pièces d’artistes, de designers et d’architectes que j’aime, c’est inspirant.

DD : Vous représentez à la fois des designers, des artistes et des architectes, pouvez-vous nous raconter la genèse de cette approche décloisonnée ?

VW : D’origine, je suis architecte et j’ai toujours travaillé dans la communication, j’avais un bureau de concept et de création pour la communication. Avant d’ouvrir la galerie, j’ai eu l’occasion de faire la curation de l’exposition « le Fabuleux Destin du Quotidien » au Grand-Hornu. Cela m’a permis de faire des rencontres dans le milieu de l’art et du design. J’ai commencé à faire des expositions qui s’articulaient autour de la relation entre l’art et le design… Ce fut le début de la galerie. Je trouve intéressant de mélanger les secteurs, d’explorer les relations entre les domaines. Dès le départ, mon but était de permettre aux créateurs de sortir de leurs zones de confort, de leurs métiers d’origine, de voir comment les créateurs abordent les objets du quotidien avec leurs spécificités : des artistes qui approchent le design, des architectes qui font des meubles…

DD : Comment découvrez-vous les artistes et designers que vous exposez ?

VW : Il n’y a pas de processus particulier pour les découvertes : je peux les rencontrer lors d’une exposition, par le bouche à oreille. Parfois, lorsque j’ai un thème particulier que je veux développer et qui me tient à cœur, je fais des recherches sur internet. Parfois, ce sont les artistes ou designers qui viennent vers moi avec des projets, leurs créations…

DD : Pouvez-vous nous présenter le label valerie_object, dont vous êtes la directrice artistique ?

VW : Le label est né avec le projet « The cutlery project ». Je souhaitais développer quelque chose autour des couverts, je me suis donc tournée vers Axel Van Den Bossche et Frank Lambert, les propriétaires de Serax, pour leur présenter mon idée. Ils ont directement été intéressés et nous nous sommes associés en créant le label valerie_objects pour lancer The cutlery project. Par la suite, j’ai intégré quelques pièces de Muller Van Severen et d’autres designers, architectes et artistes. Les objets du label sont aujourd’hui vendus dans la galerie.

« Les gens pensent qu’ouvrir une galerie consiste à ouvrir la porte. Ouvrir la porte, c’est les vacances pour moi.»

DD : Internet et les réseaux sociaux bouleversent les pratiques du marché de l’art. Quels changements avez-vous constaté dans les rapports avec les acheteurs ? Utilisez-vous les nouveaux médias pour repérer les artistes exposés ?

VW : J’ai lancé ma galerie il y a 6 ans, donc j’ai toujours travaillé dans un monde ultra connecté. Les nouvelles technologies ont forcément bousculé le marché de l’art, mais ce n’est pas récent. Aujourd’hui, je ne pourrai plus vivre sans. J’utilise beaucoup Facebook et Instagram, j’envoie des newsletters, ça fait complètement partie de ma communication, c’est une manière de se faire connaître. Les gens pensent qu’ouvrir une galerie consiste à ouvrir la porte. Ouvrir la porte, c’est les vacances pour moi. Il faut savoir que la plus grosse partie de mon travail se passe sur l’ordinateur et dans les ateliers des artistes.

DD : Vous êtes installée à Anvers, qu’est-ce qui vous plait dans cette ville ? Comment jugez-vous le positionnement de la ville sur la scène du design contemporain ?

VW : C’est une ville à taille humaine et dynamique qui a la qualité d’avoir beaucoup de créativité – notamment grâce au Département Mode de l’Académie royale des Beaux-Arts qui est considéré comme l’une des écoles de mode les plus importantes au monde. Il existe un petit cercle de galeristes, nous nous retrouvons régulièrement et organisons des événements ensemble.

« Mon but n’est pas uniquement d’exposer des choses chères réservées aux happy few. Je veux prendre la parole, raconter des histoires et montrer mon engagement pour des causes qui me tiennent à cœur.»

DD : Un dernier mot sur la prochaine exposition…

VW : Il s’agit d’une exposition de Rikkert Paauw, un designer, artiste et architecte qui était présenté au Festival Design Parade à Toulon l’été dernier. Son concept est d’aménager des pièces ou de créer des meubles à partir de matériaux et d’objets récupérés dans les rues. Cette exposition est pour moi une manière de rendre compte de tous les déchets que l’on fait, du gaspillage excessif alors que, parallèlement, notre société continue à produire toujours plus. Rikkert Paauw pose aussi la question de la pauvreté : on utilise des objets qui sont jetés et qui sont sans doute réutilisés, recyclés par d’autres gens qui n’ont rien et qui vivent dans la rue. Mon but n’est pas uniquement d’exposer des choses chères réservées aux happy few. Je veux prendre la parole, raconter des histoires et montrer mon engagement pour des causes qui me tiennent à cœur.

DD : Nous vous attendons à Paris au mois de mai pour le Festival du Design, avec un projet qui vous tient particulièrement à cœur, pouvez-vous nous en dire plus ?

VW : Pour le Festival du Design des D’Days je vais présenter le CUTLERY SHOW. Une exposition qui parle des couverts. Il s’agit de mettre en scène des couverts qu’on utilise à la fois en tant qu’ustensiles de table dans la vie de tous les jours et qui sont aussi présentés comme des objets rares, de l’art pur. L’idée centrale est avant tout de raconter une histoire autour de la nourriture. Je ne veux pas simplement montrer des belles choses, il s’agit d’apporter une réflexion sur les pratiques alimentaires : l’acte de manger ne peut se limiter au simple fait de s’alimenter. C’est un thème qui me tient à cœur et qui est important dans le monde entier. Je vais exposer à la galerie IBU au Palais Royal, c’est une invitation de Apollonia Poilâne* dont la galerie appartenait à sa mère, une artiste.

*Anecdote : Apollonia Poilâne, à la tête de l’entreprise familiale Poilâne, partagent avec sa sœur Athena, la direction de la galerie IBU qui appartenait à leur mère. La célèbre boulangerie a été fondée dans les années 1930 et développe dès lors un goût pour les arts. A l’époque son grand père, Pierre Poilâne était en relation avec les artistes du quartier qui lui offraient des tableaux contre du pain dans sa boulangerie rue du Cherche-Midi dans le 6è arrondissement de Paris. Plus tard, dans les années 60, Lionel Poilâne a réalisé du mobilier en pain (lit, chandelier…) pour Salvador Dali. Un moyen pour ce dernier de s’assurer qu’il n’y avait pas de souris chez lui.

ACTUALITÉS

CUTLERY SHOW sera présenté à la Galerie IBU — Galerie de Valois, 166 Jardins du Palais Royal, 75001 Paris — pour le Festival du Design D’Days, du 2 au 14 mai 2017 à Paris.

Les Deux Alpes

Quels sont les meilleurs hébergements pour les familles aux Deux Alpes?

Pour ceux qui sont en train de chercher un hébergement familial, HotelMix.fr offre 19 hôtels.
Hotel Cote Brune (classement: 7.6/10) avec une terrasse ensoleillée, un parcours de golf et un centre de remise en forme est situé à 7 km de Télésiége d'Auris-Express. Les invités peuvent profiter de la cuisine française et européenne dans Le Passe Montagne à proximité.

Hôtels populaires en Rhône-Alpes


Hôtel Aalborg et Hotel le Sherpa ont tous reçu 479 avis de familles voyageant aux Deux Alpes.
Liste des hôtels familiaux aux Deux Alpes

Quels sont les hôtels de charme les plus populaires aux Deux Alpes?

Nous recommandons Hotel Mercure Les Deux Alpes 1800, avec un classement de 7.4/10 comme le meilleur hôtel boutique pour €109 par nuit avec des services médicaux, des services de blanchisserie et des services en chambre sur place. Un autre hébergement recommandé est The People Hostel - Les 2 Alpes avec un classement de 7.8/10, qui offre une véranda pour se bronzer, des services de sécurité 24/24 et des services de nettoyage sur place.
Voir tous les hôtels de charme aux Deux Alpes

Tous les hôtels de5 étoiles en Rhône-Alpes


Quels sont les meilleurs hôtels à prix raisonnables aux Deux Alpes?

Sélectionnez le meilleur hôtel économique parmi 6 hébergements aux Deux Alpes.

Tous les hôtels de4 étoiles en Rhône-Alpes


L'un des meilleurs hôtels bon marché est Hotel Les Flocons avec un classement de 7.0/10 au prix de €141 par nuit, offrant une terrasse ensoleillée, un parcours de golf et des services médicaux.
Hotel des Neiges est aussi un bon hébergement noté 7.2/10, au prix de €101 par nuit.
Tous les hôtels pas chers aux Deux Alpes

Tous les hôtels de3 étoiles en Rhône-Alpes


Quels sont les hôtels les plus populaires des Deux Alpes non loin de Téléphérique de Jandri Express 1?

Famille hôtels en Rhône-Alpes


Si vous cherchez à être non loin de Téléphérique de Jandri Express 1, séjournez à Hôtel Serre Palas (classement: 8.2/10), qui est situé à 15 minutes de marche des attractions et offre un parking gratuit, un court de tennis et un parcours de golf. Les invités peuvent profiter de la cuisine française dans Doumé's - un restaurant qui est situé à proximité.
Plus d'hôtels aux Deux Alpes à proximité de Télésiège des Colosses La Plagne

Les meilleurs hôtels à Rhône-Alpes